mercredi 16 juillet 2008

Victor Molev

J'ai découvert cet artiste, Victor MOLEV.

A gauche "A.P.Tchekhov" et "Sigmund Freud" en bas "Sandro Botticelli" (La naissance de vénus)

J'aime beaucoup ce qu'il réalise. Ces œuvres se regarde de deux façons différentes. Une vision globale du tableau, qui représente un portrait la plus part du temps, puis un regard détaillé et la vous serez surpris. Il a l'art d'assembler les choses et de jouer avec les couleurs pour arriver a son résultat final.

Il est né à Nijni-N
ovgorod (Russie) en 1955.
Il est diplômé de la Faculté d'architecture en 1976 et a travaillé comme architecte et peintre scénique du théâtre. Il a immigré en Israël en 1990. Victor était un membre de l'Association des peintres et des sculpteurs en Israël. Il est peintre et artiste graphique. Il a participé à de nombreuses expositions (à la fois individuels et généraux), en Russie, en Israël et en Europe.
Ses œuvres se retrouvent dans des collections privées à travers l'Europe, États-Unis, le Canada et Israël. En août 2006, il a déménagé au Canada. Maintenant, il vit à Richmond Hill, en Ontario.

http://www.victormolev.com/bio/bio.htm

dimanche 9 mars 2008

Uglydoll

Vous connaissez les Uglydoll, (les poupées moches) ?
Non pas encore ?
Peluches Uglydoll

Enfin ceux sont de sympathique peluches en forme de monstres.

Leur origine vient d'une très belle histoire d'amour entre Marie Sun-Min Kim qui a créé, avec son compagnon David, la société de design Pretty Ugly.

Les peluches sont fabriquées à la main, en feutre polaire 100% polyester, elles sont lavables en machine et conviennent aux enfants de moins de 36 mois.

Elles existent en trois tailles : Small (environ 18 cm), Médium (environ 36 cm) et Large (plus de 60 cm).

http://www.shopatron.com/product/product_id=PUL10121/322.0.0.0.0.0.0
http://www.doudou-shop.com/boutique/catalogue.php?menusel=4&selmenu2=52
http://www.annuaire-enfants-kibodio.com/actualites/uglydoll-peluche-20071129.html

Voir comment tout à commencer :

Les peluches Uglydoll ne ressemblent à rien, sont vilaines comme tout et de couleur indéfinissable... mais délicieusement attendrissantes, monstrueusement attachantes, et follement tendance aux Etats-Unis. Elles débarquent en France. Pour avoir les honneurs de la Galerie des Jouets du Musée des Arts décoratifs de Paris - lesartsdecoratifs.fr. Et être distribuées par la jeune société www.dreams-toys.fr, dont le fondateur, Eric Rossi, dénicheur de nouveautés et de talents, les a adoptées sur un coup de foudre (chez leur éditeur, la société Pretty Ugly). Comme les people avant lui.

Pas seulement parce que les médias les plus influents (le New York Times, Time) se penchent sur le phénomène du succès en flèche de ces curieuses créatures. Ni parce que les boutiques branchées ou celles des musées les considèrent comme issues de la culture pop ou du design. Mais parce que ce sont des enfants de l’amour... L’amour de deux étudiants en arts décoratifs. Et que cela se devine.

L’histoire est jolie. Elle commence par la rencontre, en 1997, de deux étudiants en classe de dessin à la Parsons de NewYork (The New School for Design). David Horvath et Sun-Min Kim partagent un univers, et une passion : le jouet. La mère de David créait des prototypes pour Mattel ; Sun-Min réalisait des maisons pour ses poupées. En 2001, les parents de Sun-Min la rappellent en Corée. David s’envole pour Los Angeles, où il entre chez le distributeur Toys International. On s’écrit. Beaucoup. David gribouille sur un papier orange, en messager transi d’amour, un personnage aussi laid que craquant... auquel Sun-Min fait, pour Noël, la surprise de donner corps : 30 cm, tendre comme une peluche, plat comme une bouillotte, cousu main en feutre polaire orange, il sera nommé Wage.

David fonce partager son émerveillement avec son ami Eric Nakamura, qui vient d’ouvrir une boutique d’objets d’artistes, Giant Robot. Séduit par l’énergie que dégage cette Uglydoll aux yeux ronds et aux dents pointues, Eric en commande 20. Sun-Min coud, en dotant Wage d’un copain : Babo. Ils se vendent en quelques heures. Nouvelle commande, de 100 peluches, qui se vendent en 2 jours : le bouche-à-oreille a joué. On est en 2002. Six mois, 1500 créatures et une machine à coudre plus tard, il faut accélérer la cadence.

les Uglydolls
Toutes faites main, les Uglydolls sont pourtant toujours des pièces uniques, “des anti-clones”. Elles se vendent à des millions d’exemplaires dans le monde (alors que les dessins de David avaient été refusés par un grand fabricant de jouets). Toujours dans des boutiques super-top : Barney, Takashimaya, FAO Schwarz à Las Vegas... où les acheteurs ont bien plus que l’âge de raison - mais de plus jeunes pointent déjà leur nez.

Dès 2003, les Uglydolls font leur apparition à la New York Toy Fair, et au San Diego Comi-Con. Elles récoltent des lauriers. Elles entrent dans les boutiques des musées : au MoMA, au Whitney Museum of American Art, au London Design Museum... Elles font parler d’elles dans la presse écrite et à la télévision. Et leur site web pétille d’humour.

David et Sun-Min ont engagé une équipe, monté en partenariat avec un copain, doué en finances, la société Pretty Ugly. Et puis ils se sont mariés l’an dernier, ont fait un bébé pour de vrai...

Après avoir étoffé la famille Uglydoll de nouvelles créatures. En trois tailles de peluches (18 cm, 30-36 cm, 60 cm) ; en clip-ons (10 cm) pour personnaliser les sacs à dos et autres ; en matières lavables (feutre polaire 100% polyester) ; et avec une personnalité de loustic gourmand, dont on vous donne les grandes lignes sur l’étiquette à son nom...

Source : http://www.annuaire-enfants-kibodio.com/actualites/uglydoll-peluche-20071129.html